| Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Elvire Rémand | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
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Kim Gun (FFCP 2019)
Kang Sang-woo |
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« Une enquête qui se transforme en documentaire sur le traumatisme individuel et collectif. Bouleversant. »
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« Un brillant travail de mémoire et de cinéma. L'obsession de l'identité est douloureuse mais sonne comme un cri de vérité, contre l'obscurantisme. »
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Killing (L'Étrange Festival 2018)
Shinya Tsukamoto |
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« Un film de chambara à la sauce Tsukamoto, et sans budget, c'est toujours détonnant. Il y a des moments de grâce dans ce film, mais aussi des flottements dus à des personnages parfois trop peu incarnés. »
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« Un film d’époque anti-spectaculaire au possible, au sous-texte historique intéressant mais plombé par une mise en scene trop inégale. »
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« Malgré quelques scènes moins inspirées et une utilisation discutable du numérique, Shinya Tsukamoto livre un chambara hypnotique et fascinant, s'appropriant pleinement le genre en l'inscrivant dans son univers obsessionnel. »
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Killing (Kinotayo 2019)
Tsukamoto Shinya |
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« Un film de chambara à la sauce Tsukamoto, et sans budget, c'est toujours détonnant. Il y a des moments de grâce dans ce film, mais aussi des flottements dus à des personnages parfois trop peu incarnés. »
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« Shin'ya Tsukamoto revient avec un genre résolument classique mais résolu à crever l'écran à travers un film tout sauf classique. Tout comme les cinéastes du Nouvel Hollywood en leur temps, et avec seulement 1h30, Tsukamoto portrait la violence de sa société. »
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« Malgré quelques scènes moins inspirées et une utilisation discutable du numérique, Shinya Tsukamoto livre un chambara hypnotique et fascinant, s'appropriant pleinement le genre en l'inscrivant dans son univers obsessionnel. »
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Killers (L'Étrange Festival 2014)
Mo Brothers |
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« Killers n'est autre qu'une réflexion sur l'horreur (fictionnelle ou non), et met le spectateur dans une situation délicate. Un jeu malsain parfaitement mené par deux grands acteurs. »
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Keys to the Heart (FFCP 2018)
Choi Sung-hyun |
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« Lee Byung-hun est parfait dans ce rôle à contre-emploi, ainsi que tous les autres acteurs. On est forcément touché par cette histoire familiale mais le réalisateur n'a pas pu s'empêcher de sortir les violons, ce qui n'était pas utile. »
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Kenshin le Vagabond (en vidéo le 20/04/2016)
Otomo Keishi |
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« Une adaptation solide et soignée, malgré quelques clichés dont le manga-live a bien du mal à se défaire. »
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Kenshin Kyoto Inferno (en vidéo le 20/07/2016)
Otomo Keishi |
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« Une adaptation de manga à classer parmi les réussites du genre, grâce à des combats impressionnants et un traitement adulte des thématiques, qui donnent une nouvelle vie à Kenshin. »
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Kenshin : La Fin de la légende (en vidéo le 12/10/2016)
Othomo Keishi |
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« Un peu trop longue au point de parfois froler l'indigestion, la trilogie Kenshin se clôt quand même avec classe et tenue, qui en fait une belle et rare réussite en matière d'adaptation live de manga . »
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KAMIKAZE LE DERNIER ASSAUT (en vidéo le 24/08/2015)
Yamazaki Takashi |
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Kakekomi (Kinotayo 2015)
Masato Harada |
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« Un sujet passionnant gâché par un traitement au classicisme dégoulinant de sentimentalité. »
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Kaili Blues (en vidéo le 02/11/2011)
Bi Gan |
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« Un premier film d'une incroyable justesse, poétique, à la réalisation bluffante. Un cinéaste à suivre ! »
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« La découverte d'un réalisateur plus que prometteur. »
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Kaili Blues (en salles le 23/03/2016)
Bi Gan |
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« La découverte d'un réalisateur plus que prometteur. »
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Kabukicho Love Hotel (Kinotayo 2015)
Ryuichi Hiroki |
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« Film qui aborde beaucoup de thèmes fort intéressants sans jamais réellement les développer, Kabukicho Love Hotel reste cependant agréable à regarder. »
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« Pas mal pour un One-Night Stand ! »
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Kabukicho Love Hotel (Black Movie 2016)
Hiroki Ryūichi |
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« Film qui aborde beaucoup de thèmes fort intéressants sans jamais réellement les développer, Kabukicho Love Hotel reste cependant agréable à regarder. »
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« Pas mal pour un One-Night Stand ! »
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Juste sous vos yeux (en salles le 21/09/2022)
Hong sang-soo |
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« Ce qui menace le cinéma de HSS, c'est sa propension à se laisser séduire plus par les ressorts du scénario plus que par son geste plastique. Et ce film-ci y cède sans détour. Et avec regret. »
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« Un aspect mélancolique arrive dans le cinéma de HSS et lui apporte davantage de profondeur. »
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« Hong Sang-soo creuse de belle manière sa veine mélancolique et emporte son cinéma vers une lumineuse tristesse, dont il est aujourd'hui l'unique représentant. Un sillon de plus est tracé dans la construction d'une grande œuvre (peut-être la plus cohérente et solitaire du cinéma contemporain) par apports minimalistes. »
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Junk Head (en salles le 18/05/2022)
Hori Takahide |
« Audacieux et ambitieux mais quand même fouillis et mal branlé. »
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« Malgré une narration parfois un peu bancale, un univers fascinant et des idées formelles foisonnantes qui captivent de bout en bout. »
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« Ultra original et dément de savoir-faire, le film se perd un peu par moment. Mais donne très envie de voir la suite (si suite il y a en préparation) ! »
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« Un voyage fantastique et débordant d’idées, une odyssée souterraine d’une richesse folle, doublé d’un incroyable tour de force technique.
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« On peut craindre le tour de force solipsiste mais on finit par être emporté par le foisonnement narratif et esthétique. »
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Jujutsu Kaisen 0 (en salles le 16/03/2022)
Park Sung-ho |
« Le film porte bien son nom. »
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« Même la technique made in Mappa n’arrive pas à rattraper un épisode prequel inutile, vide, fourré de fan service et aux enjeux inexistants. »
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Ju-on: Origins (Netflix)
Miyake Sho |
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« On prend son temps et on se replonge avec délice dans cette nouvelle itération de la saga Ju-on. »
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« Un retour dispensable et mou aux origines du Mal et de la légendaire maison hantée. Une tentative mal inspirée de mêler épouvante à l’ancienne et sous-texte social actuel. »
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Ju Dou (en salles le 02/09/2020)
Zhang Yimou |
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« Une esthétique léchée pour une tragédie qui prend aux tripes. »
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« Huis-clos terrible sur la nature humaine, aux confins du naturalisme, de la fable érotique et du film de vengeance. »
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Joyland (en salles le 28/12/2022)
Saim Sadiq |
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« Une très belle découverte tantôt lumineuse et tantôt déchirante. Saim Sadiq déploie le récit de ses personnages pris aux pièges des conventions avec une grande intelligence et une rare sensibilité. »
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